vendredi 27 novembre 2015

Dur dur




Ce qui devient le plus difficile pour moi, ce sont les trajets : embouteillages, pollution. Je n’ai plus le courage de me rendre à Tana.. Le bus est déjà plein, il n’y a plus que quelques places  Tout le monde se pousse.  Je ne peux entrer dans le véhicule. Attendre son tour, n’est pas dans la culture. Je reste sur le carreau parfois plus d’une heure et même j’y renonce. Je dois me rabattre sur les taxis. Mais cela n’empêche pas les longues attentes et la pollution. 






Je n’ai pas l’habitude et mes bronches n’aiment vraiment pas….
Voici un court extrait de presse.

Selon les techniciens en météorologie, ce voile de fumée est provoqué, probablement, par des feux de brousse. La cuisson des briques dans les périphéries de la ville et les fumées émanant des grandes usines seraient également la cause de cette pollution de l’air. Toutefois, les gaz d'échappement des véhicules, les embouteillages, l'utilisation du charbon de bois sont aussi des facteurs majeurs à prendre en compte. 
Un problème que l’État Malagasy doit considérer au même titre que les sachets en plastique, avant que tout ne parte en fumée.

Un signe officiel de cette pollution atmosphérique: un nombre croissant de personnes à Antananarivo  subit des problèmes respiratoires. Les catégories vulnérables de la population comme les enfants, les pauvres et les vieillards seraient les plus touchés par ce genre de problème. Toux sèche, difficulté à respirer et des douleurs dans les poumons sont les symptômes les plus courants.

Aucun commentaire: